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Jean Luc Thunevin

  • : Jean-Luc Thunevin
  • : Bienvenue sur le Blog de Jean-Luc Thunevin, propriétaire de Château Valandraud.
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3 mai 2006 3 03 /05 /mai /2006 13:46

A la fin du mois de mai, je serai à Hong Kong avec Jean-Roger pour participer à Vinexpo. En plus du salon (nous serons présents sur le stand CD 14), notre distributeur local nous a concocté dégustations et dîners …. En voici le programme :

 

Wine tasting in our Central Shop on 20th May from 4:00pm to 7:00pm

 

Venue: GDV Central Shop

 

Guests: 30 persons (GDV Members)

 

Wines Proposed: Blanc de Valandraud No. 2 2004, Calvet Thunevin Constance 2003, Clos Badon Thunevin 2003, Virginie 2003, Calvet Thunevin Dentelles 2003, Arche Lafaurie 2000, Calvet Thunevin Hugo 2003, Presidial 2004, Griffe de Cap d'Or 2001, Chapelle Segur 2001

 

 

 

Dinner on 24th May:

 

Venue: Luk Yu Restaurant (a very old, prestige Chinese-style restaurant) in Central, Hong Kong 

 

Guests: 20 persons - 16 (customers of GDV) + 2 (GDV) + 2 (Jean-Luc, Jean-Roger)

 

Theme: Wines from Thunevin

 

Wines Proposed: Blanc de Valandraud No. 1 2004, Clos Badon Thunevin 2003, Calvet Thunevin Dentelles 2003, Calvet Thunevin Hugo 2003, Virginie 2003, Valandraud 1999, L'Interdit de Valandraud, Arche Lafaurie 2000

 

 

 

Dinner on 26th May:

 

Venue: "Toscana" in Ritz Carlton Hotel, Hong Kong

 

Guests: 18 persons - 14 (customers of Toscana) + 2 (GDV) + 2 (Jean-Luc, Jean-Roger)

 

Theme: Thunevin's Bordeaux Beauties

 

Wines Proposed: Blanc de Valandraud No. 1 2004, Haut Mazeris Fronsac 2003, Haut Mazeris Canon Fronsac 2003, Virginie 2003, Valandraud 1999, Valandraud 2001, Arche Lafaurie 2000

 

 

 

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26 avril 2006 3 26 /04 /avril /2006 16:07

Visite à Haut Mazeris pour rencontrer Capucine de Luynes et faire le tour des plantations en cours et des investissements à réaliser avant les prochaines vendanges. Le 2005 et le 2004 juste avant mise, goûtés à midi à table ont une fois de plus prouvé le formidable potentiel de ce terroir, car là il s’agit bien de terroir, et de l’un des meilleurs que je connaisse.

En suivant, visite à La Dominique, où ils sont en train de préparer la mise en bouteille du 2004. Discussion là aussi des investissements nécessaires pour mieux cultiver  la vigne.

Le soir, apéro avec Alain et mon avocat Maître Magret qui venait de plaider pour moi dans une affaire de droit des marques. Nous avons pu boire le Blanc de Valandraud 2004, qui est vraiment une grande bouteille .. Merci Murielle et Thanos  ;-))

Sur le Sud Ouest, une belle photo de nous à l’Essentiel, sur le Figaro un bel article sur Hervé Bizeul qui me cite de manière plutôt élogieuse avec une belle photo de lui prise dans notre jardin lors de l’UGC.

 

 

Ce matin, dégustation de nos lots de 2004 avant mise, il s’agissait du 3ème vin de Valandraud, de Clos Badon et de Virginie. Valandraud, goûté en même temps est en train de donner raison à Hervé et Patrick. Comment pouvaient – ils imaginer, prévoir l’évolution de ce 2004 hors norme ?

A midi, invité par un gros client américain de Vignobles et Chateaux, on a mangé dans le meilleur restaurant de Saint Emilion, Plaisance, où en plus d’un repas de qualité, notre hôte avait commandé 2 bouteilles  de vin servies à l’aveugle :

-         un 90 un poil trop fin à mon goût et je crois l’avoir reconnu mais je n’ai pas osé le citer (j’avais pensé à un Pomerol mais je ne pensais pas que le client  voulait nous offrir La Fleur Petrus 90)

-         le 2° vin était très moderne, très à mon goût, superbe. Je pensais à un très grand vin 89 style Eglise Clinet, Angelus ou Tertre Roteboeuf. Tout faux ! c’était Lynch Bages 1989 ! Bon Dieu, je l’ai vraiment apprécié et je veux bien regoûter ce beau grand vin à l’occasion…. (Jean Michel Cazes, si tu me lis…)

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12 avril 2006 3 12 /04 /avril /2006 17:00

Dégustation ce matin avec Steve Tanzer de mes vins 2005 ainsi que de ceux de mes amis. Steve Tanzer est l’un des critiques américains les plus respectés. Très professionnel, très précis, fiable et influent sur la Côte Est des USA .

Il revient demain pour goûter les 2003 en bouteille.

A midi j’ai mangé à L’Essentiel avec un Assistant de Pédagogie et de Recherche d’une grande école lyonnaise. Je n’ai pas tout compris dans ses questions… mais cela ne m’a pas empêché d’y répondre… Il est vrai qu’avec 2 verres de Calandray 2003 et 2004, j’ai eu l’aide du Côte du Roussillon Villages pour la parlotte !

L’après midi au bureau, préparation des mises en marché  et de la commercialisation des vins des Vignobles Fayat avec discussions et point de vue des courtiers bordelais qui seront impliqués.

 

 

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10 avril 2006 1 10 /04 /avril /2006 11:23

Ce matin nous avons envoyé par e-mail à tous nos interlocuteurs le communiqué suivant :

"Nous sommes heureux de vous informer que Jean Luc Thunevin a été nommé gérant des Vignobles Fayat  et s'occupera donc de  Château La Dominique, Château Clément Pichon, Château Prieurs de la Commanderie, Château La Commanderie de Mazeyres.

 We are pleased to inform you that Jean Luc Thunevin has been appointed managing director of Vignobles Fayat and will be in charge of Château La Dominique, Château Clément Pichon, Château Prieurs de la Commanderie, Château La Commanderie de Mazeyres."
De son côté, Mr Clément Fayat a envoyé les courriers suivants  :

"Madame, Monsieur,

  Afin d’assurer au Château La Dominique et aux autres domaines des Vignobles Clément Fayat l’avenir qu’ils méritent, j’ai décidé d’en confier la gérance à Monsieur Jean-Luc THUNEVIN, propriétaire du célèbre Château Valandraud.

 Cette initiative a tout d’abord été motivée par notre amitié fondée sur une grande confiance mutuelle, mais également et surtout par le professionnalisme reconnu de Jean-Luc THUNEVIN. De plus, d’autres projets font aussi l’objet de réflexions pour le futur.

 Monsieur Michel ROLLAND continuera bien évidemment à apporter ses services, avec tout le soin que l’on sait, aux propriétés des Vignobles Clément Fayat, comme il le fait depuis plus de 30 ans.

 Monsieur THUNEVIN remplira sa nouvelle mission, en plus des fonctions qui sont déjà les siennes, à compter de la commercialisation des primeurs 2005.

 J’espère que notre collaboration avec vous se poursuivra dans les meilleures conditions possibles et je vous prie de croire, Madame, Monsieur, à l’expression de ma grande sympathie.

                                      Clément FAYAT"

Courrier qui était accompagné de cette missive :

"Chers Amis,

 Voici une nouvelle aventure qui commence.

 Le papa de Murielle a été l’employé de Monsieur Clément FAYAT et il s’est dévoué tout au long de sa carrière de conducteur d’engin dans la première entreprise qui est depuis devenue l’un des grands groupes mondiaux de travaux publics. Je ferai connaissance avec ce groupe au fur et à mesure de nos travaux. Cela pour dire que ce n’est pas tout à fait un hasard si je me retrouve désigné à ce poste.

 Le fleuron des Vignobles Clément Fayat est actuellement Château La Dominique, Grand Cru Classé, contigu à Château Cheval Blanc, La Conseillante, l’Evangile… Quand je suis arrivé à Saint-Emilion, Château La Dominique pouvait prétendre à être classé 1er Grand Cru Classé B, et depuis lors, ce Château reste parmi les meilleurs Grands Crus Classés mais il n’a pas connu l’impulsion qui a été donnée, par exemple, à Troplong Mondot par Christine Valette.

 Le deuxième pôle de production est à Pomerol, avec ses Prieurs de la Commanderie et La Commanderie de Mazeyres. Nous verrons s’il n’y a pas lieu d’y ajouter quelques hectares bien placés.

 Le troisième pôle est Château Clément-Pichon, Cru Bourgeois Supérieur du Haut-Médoc, à deux pas de Bordeaux.   

 

J’espère être digne de la confiance de mon ami Clément FAYAT.

         Jean-Luc THUNEVIN"

 

 

 

 

 

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22 mars 2006 3 22 /03 /mars /2006 16:34

Anniversaire de Marcel Andraud, 77 ans, papa de Murielle. Presque toute la famille était réunie pour un repas dans la tradition « maison » : soupe vermicelle, rôti de bœuf et frites maison, fromage et tarte aux fraises avec chantilly, et 2 vins ouverts pour l’occasion .

1 par mon beau-père : un magnum de Clos des Fées 2000 qui a été bu à toute vitesse, comme une gourmandise, je comprends l’expression bombe de fruits ! Sur la tarte à la fraise, nous avons bu une bouteille de La Fleur Pétrus 1995 qui n’était pas de trop.

Pour finir la soirée, 2 parties de belote. Je joue souvent aux cartes avec mon beau-père et contre Renée, la mère de Murielle, et Fred, le compagnon de Danielle, la sœur de Murielle.

Nous avons gagné les 2 parties et c’est normal, c’était l’heureux anniversaire de mon beau-père.

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20 mars 2006 1 20 /03 /mars /2006 11:01

Il y a quelques jours, dégustation avec Michel Rolland de Valandraud 2004 et 2005. Michel est sans doute le meilleur œnologue au monde, en tout cas c’est lui qui sait assembler des lots divers pour faire le mieux et le plus de grands vins, et ça, c’est le talent (et sans doute aussi beaucoup d’expérience).

Je crois que son aide permanente et proche  sera des plus utile cette année pour être encore dans les 20 meilleurs vins de Bordeaux  au bout de 15 ans.            Et quel bonheur de le voir  goûter et nous sortir mieux que ce que l’on avait imaginé. Je voulais prendre une photo … Et zut ! ce sera pour la prochaine fois.

A midi, nous avions une journaliste de Decanter,  qui écrit également en free-lance sur la « nouvelle vague » des vins de Bordeaux Autour de la table, Guillaume Quéron avec Fleur Mongiron 2003, Michel Puzio avec Croix de Labrie 2000, un vin de notre ami Pascal Colotte Jean Faure 2003, et un SineQuaNon  1996 ;

A 14 h 30, rendez vous avec Franck Rat pour établir une stratégie de communication et à 16 h 30 reportage vidéo pour la RVF. Je suis ensuite rentré regarder  « C dans l’air » à 17 h 48 pour voir si Calvi parlait des vedettes et du vin avec Jean Guyon.

 

 

 

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3 mars 2006 5 03 /03 /mars /2006 12:11

Je n’avais pas vu la liste des vins, cités par la RVF, qui n’avaient pas voulu participer à cette dégustation sur ce classement. Certains propriétaires doivent sans doute penser que seule la commission de classement a le droit de donner un avis qui compte en la matière, et c’est vrai puisqu’elle est seul juge. Mais comment peut-on ignorer le principal média traitant du vin ? Comment peut-on penser que les journalistes spécialisés n’ont pas le droit d’avoir un avis sur votre production ? Quand j’ai refusé de donner des échantillons  ( à de rares occasions), c’était surtout pour montrer le reste de ma production ou celle de mes amis. Je pense plus particulièrement à Clive Coates, que je savais ne pas aimer mon vin et qui lui donnait régulièrement du « vin de garage » « peu de terroir » et j’en passe … et qui a fini par dire (en 1998) « very fine ».

Il ne faut pas avoir peur des critiques car nos vins sont toujours goûtés par nos clients et si des journalistes ne font plus que du « publi-reportage », ils finissent par ne plus avoir de crédibilité (ça a été le cas de quelques Anglais et d’un Français qui continue dans ce créneau). Avoir une mauvaise note chez un media, ce n’est pas la mort, à nous de prouver qu’il y a erreur, à nous de nous poser des questions . Mais n’avoir que des mauvaises notes ou pas de commentaires quand on demande le classement de Saint Emilion, c’est quand même dangereux !

Olivier Poels et Hélène Durand, que j’ai rencontré hier chez un de mes collègues négociant à Bordeaux pour une  dégustation des  2004, étaient en tout cas contents d’être libres d’exprimer leur avis et ça, par les temps qui courent, c’est bien.

Et une "petite" photo du nouveau cuvier béton de Pontet Canet qu'Alfred Tesseron m'a fait passer ce matin :

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27 février 2006 1 27 /02 /février /2006 17:08

J’avais écrit il y a quelques mois que le nouveau classement de Saint Emilion n’intéressait personne et que j’étais étonné du peu d’intérêt montré par les amateurs et les journalistes à ce sujet. Depuis les choses ont bien, beaucoup changé.

 

 

Après Sud Ouest qui a écrit sur quelques propriétés, avec entre autres Bellefont-Belcier, Fleur Cardinale et Valandraud, c’est au tour de la Revue des Vins de France de paraître avec un titre accusateur : « Saint Emilion 2006, bataille autour d’un classement ». J’espère que la RVF ne va pas se mettre  elle aussi à sortir des titres à la Marianne… En effet, en couverture également : « Révélation : nos grands vins sont ils trop alcoolisés ? »

Bon, en tout cas Decanter a envoyé dans la même journée 2 journalistes : 1 pour la revue papier et l’autre pour le site internet.

Donc le classement commence vraiment à être commenté et chaque propriétaire, négociant, courtier, amateur, journaliste a quelques chose à dire. Et tant mieux !

Sauf que de bataille il n’y a pas, en tout cas pas encore. La commission fait son boulot très discrètement et à aujourd’hui aucun bruit de couloir, aucune fuite. Bravo.

 

 

Mais pourquoi donc suis – je encore en train de parler de ce foutu classement ? Eh bien, parce que je suis concerné à plusieurs titres. Avec Valandraud, bien sûr, mais aussi avec ma boite de négoce. Par exemple, actuellement, un gros distributeur européen cherche l’exclusivité d’un grand cru classé de Saint Emilion, « bon, pas trop cher et avec un peu de notoriété. »

Cette demande frappe d’entrée 3 fois là où ça fait mal : « un peu de notoriété » ?

Comment ? Tous les grands crus classés n’ont ils pas « un peu de notoriété » ? (à quoi sert le classement sinon ?).  « Un bon prix », est –ce possible si ce vin a de la notoriété ? « Bon », fallait-il le préciser ? C’est un minimum pour un cru classé, sinon à la trappe ! Déclassé, le mauvais !

Revenons à la RVF qui a fait son propre classement avec quelques bizarreries dans sa logique (et une coquille dans sa compo). Par exemple, elle classe Tertre Roteboeuf et La Mondotte en 1er mais je crois que le premier n’a rien demandé et que le second n’a pas voulu , dès sa création, mettre La Mondotte en grand cru, minimum nécessaire pour postuler.

Pour le reste, ils ne classent que Troplong Mondot et Pavie Macquin en 1er Grand Cru Classé  B,  et personne en A. Ce qui laisse pour moi une surprise de taille : ni Angélus, ni Pavie  n’ont de flèche ascendante (signifiant en progrès depuis le classement officiel de 1996)

Aucune rétrogradation dans les Grands Crus Classés B, sauf Beauséjour Duffau Lagarosse, qui n’est sûrement  pas celui que j’aurai cité.

Dans les possibles Grands Crus Classés, je remarque l’absence de Barde Haut, et le manque de commentaires sur pas mal de crus classés dont on ne sait si il faut les garder ou les rétrograder  (exemple simple avec les  2 Tour du Pin Figeac).

Pour ce qui est des déclassements, je suis très surpris de  voir cités des vins que j’aime bien, c’est pour le moins discutable si l’on peut penser que d’autres auraient pu également faire partie du lot.

 

 

En bons grands crus classés qui méritent leur place, au moins virtuelle : La Clotte, La Dominique, Grand Pontet, Faurie de Souchard, Dassault, Laroze, etc… Les autres, je les goûte moins, mais je ne serais pas étonné qu’ils soient bien meilleurs (pour certains) qu’un ou deux 1ers Grand Crus Classés B.

Que penser alors de cet article ? Eh bien, qu’il me fait  parler et donner un avis moins « langue de bois ».

Quoi qu’il en soit, le résultat sera communiqué avant septembre, selon la promesse de la commission, et peut-être même dès mai ou juin.

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3 février 2006 5 03 /02 /février /2006 16:22

J'ai cédé au démon de la curiosité et j'ai consulté les statistiques de fréquentation de ce blog, pour découvrir que la moyenne de fréquentation journalière était de 200 visites... et même plus ponctuellement.

Merci de votre intérêt !

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31 janvier 2006 2 31 /01 /janvier /2006 11:34

J’ai pu lire sur internet que cela surprend de parler argent et affaires en France. Le métier de négociant, c’est pour moi d’acheter et de vendre du vin en y apportant, si possible, une image, une notoriété par la qualité des produits et de bons prix dans la mesure du possible. Je n’ai pas de chai dit  d’élevage ou d’assemblage, seulement de stockage de bouteilles. Donc, pas d’assemblage ou d’élevage, mais une inspection fréquente de la propriété pour vérifier l’état des vignes (une sorte d’audit) et dégustations des divers lots.

J’achète également des lots par l’intermédiaire des courtiers pour faire des mises en bouteilles à la propriété ou au château.

Une partie de mon activité consiste à promouvoir les vins de mes propriétés (plus de 10 marques aujourd’hui), gestion des exclusivités de distribution, choix et stratégie… Le reste du temps (en fait 80 % du travail) est consacré  à traiter les vins dit de place de Bordeaux, les vins du Sud (surtout  Roussillon) et quelques vins étrangers dont les fleurons sont Harlan, Pingus, Yacochuya, etc…

Pour les vins de place, c’est surtout pendant la campagne primeurs que je ressens  leur importance, mais ça c’est une autre histoire.

Parlons chiffres :

Propriétés et négoce confondus : environ 30 employés permanents

C.A. du mois de Décembre : 1 465 945. 93 euro

Nombre de bouteille expédiées : 68 771

Ce qui est positif, c’est que notre activité étant tombée au plus bas l’année dernière, nous ne pourrons et ne devons que mieux faire ! La preuve, c’est que nous avons plus de clients et déjà plus de commandes en portefeuille.

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