Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Jean Luc Thunevin

  • : Jean-Luc Thunevin
  • : Bienvenue sur le Blog de Jean-Luc Thunevin, propriétaire de Château Valandraud.
  • Contact

  • Jean Luc Thunevin

Recherche

Articles RÉCents

8 août 2006 2 08 /08 /août /2006 12:38

J’ai quelquefois des demandes de lien avec d’autres sites. Et chaque fois que j’ai une demande, je trouve cela sympa. Sauf qu’avant de dire oui, je regarde un peu ce qui se dit sur le site du demandeur.

 

 

Et, si celui qui me demande un lien, alors qu’il est visiblement très inspiré par l’inverse de ce que j’aime, avec les sempiternelles phrases sur : terroir, mondialisation, vin vrai, anti-Rolland, Parker, Bettane, etc…alors là, je suis surpris par son manque de bon sens et, bien sûr, je ne réponds pas !!!

 

 

Sinon, à part ça….beau temps !

Partager cet article
Repost0
7 août 2006 1 07 /08 /août /2006 08:56

Hamitan a écrit sur le site dégustateur.com ou la passion du vin : « si le vin est bon et qu’il fait plaisir à ceux qui le consomment, cela devrait lui (il parle de moi) apporter plus de satisfaction qu’une (toute) relative tiédeur sur une note. »

Merci !

 

 

Mais voilà, je ne suis jamais content ! Je veux tout, comme un enfant capricieux que la chance a bien favorisé jusque là. Je veux tout !

 

 

Paradoxe, je ne suis pas malheureux de ne pas tout avoir, cela me donne la pêche pour aller encore plus haut. Cela peut paraître très bizarre et ça n’a pas l’air de s’arranger : j’ai besoin que l’on m’estime, que l’on me reconnaisse pour calmer (un peu) mes angoisses. Mais je ne suis pas abattu, et rarement négatif. Angoissé, oui. Optimiste, toujours.

C’est ma vie …

Partager cet article
Repost0
4 août 2006 5 04 /08 /août /2006 09:59

Reçu le Décanter d’Août/Septembre 2006.

 

 

Avec un beau, très beau score pour Calvet Thunevin « Les Dentelles » et Cuvée Hugo 2003, qui obtiennent chacun 5 étoiles, avec Domaine de l’Edre 2004, Carerades 2004 de Mas Amiel 2004.

 

 

Grand reportage de 5 pages sur les Cotes du Roussillon Villages, avec de très beaux commentaires sur beaucoup de vins comme ceux du Clos des Fées, et un beau 2 étoiles, vu le prix, pour Calandray réserve 2004.

 

 

Tout ceci vient consacrer maintenant : après la Revue du Vin de France (1er à nous découvrir), Parker (avec la première note de ce niveau pour nos Roussillon, je crois) et désormais Décanter.

 

 

Notre importateur anglais va voir sa tâche facilitée, et son coup de cœur pour nos vins, récompensé !

Et nos amis des supermarchés Leclerc, qui ont sélectionné Constance 2004, aussi !!!
Partager cet article
Repost0
28 juillet 2006 5 28 /07 /juillet /2006 15:28

Michel ROLLAND, Michel ROLLAND, Michel ROLLAND, Michel ROLLAND, Michel ROLLAND, Michel ROLLAND, Michel ROLLAND, Michel ROLLAND, Michel ROLLAND, Michel ROLLAND, Michel ROLLAND, Michel ROLLAND ................

 

 

 

 

Encore et toujours lui, qui représente la Révolution.

 

 

Je mange tranquillement avec mes copains au Clos St-Julien, le nouveau lieu ouvert par Pascal et, en fin de repas, mon portable (pas arrêté pour une fois) sonne. Le temps de l’attraper, juste un message « Allo ! J’ai besoin de toi pour un reportage que je fais pour une télé allemande, viens nous rejoindre à la Cadène (qui est l’un des restaurants préférés des locaux) ».

Donc télé allemande, journaliste, interprète avec l’ami René Lambert et des copains à Michel. Le sujet, comme d’habitude, porte sur la « Révolution Rolland », la mondialisation, les garagistes, etc… C’est toujours un plaisir pour moi de raconter comment et pourquoi je suis fier d’être (je l’espère) son ami.

Vite fait, bien fait, après Clos St-Julien et Petit-Gravet bu chez Catherine Papon Nouvel, un verre de Lynsolence 1998 de l’ami Denis Barraud.

Avec le soleil, j’aurai bien fait la sieste, moi, mais voilà j’ai encore du boulot !  Et encore, j’ai eu de la chance ! Au chai de Michel Gracia - ouvert mais Michel n’étant pas là, on a évité de goûter 1 ou 2 verres de Gracia.

 

 

Dure notre vie, non ?

Partager cet article
Repost0
27 juillet 2006 4 27 /07 /juillet /2006 09:26

Petit orage et pluie bienfaisante pour les vignes et nous. Nos bureaux sont climatisés, nos chais et magasins aussi, mais Murielle et nos employés permanents et saisonniers dans les vignes ont leur surdose de chaleur et de soleil (entre 30 et 37°). Les nuits également chaudes ne permettent pas à la maison de retrouver un peu de fraîcheur. Est-ce encore une année à climat chaud ? On verra bien. Mais quand je pense qu’encore à Bordeaux dans certains chais aériens, il n’y a pas la clim, les vins conservés dans de telles conditions prennent facilement un coup de vieux.

A propos de chais, nous avons encore un lot de 2005, qui a repris sa fermentation malolactique inachevée cet hiver, comme quoi il ne faut tout simplement pas être pressé.

 

 

Mardi 25 Juillet, petit aller-retour Paris en TGV. A l’aller, un compartiment complètement amorti : les sièges, la moquette usés jusqu’au trognon ! Au retour, nouveaux sièges, colorés, confortables. Vive le TGV : moins de 3h30 pour Paris Centre, c’est facile, agréable et l’émission à France Inter avec Nicolas Stoufflet relativement facile.

Nicolas, comme souvent les journalistes, plein d’empathie, sympa, et l’autre invité Gaëtan dont c’était le premier contact médiatique de sa déjà longue carrière dans le vin, a été gâté : les questions posées n’étaient pas très polémiques, l’heure d’émission est passée trop vite et la plupart des sujets n’ont pas pu être abordés. Dans le désordre : l’exception culturelle française, comme pour les espagnols, c’est pour quand, la liberté dans la concurrence mondiale, les vins naturels (oui, car il semble qu’il y ait des vins surnaturels) et patati patata…

 

 

Petite info qui a son importance, Pascal Fauvel qui s’ennuyait à Paris, vient d’ouvrir chez Catherine Papon Nouvel au Clos Saint-Julien, juste à 50 mètres de nos bureaux, un nouveau lieu-concept dans les vignes où l’on peut boire et manger. J’irai dès que possible, ne serait-ce que pour me rappeler que Pascal tenait le restaurant « la Jadouine »juste en face du mien, quand je suis arrivé à Saint-Emilion et qu’il avait été mon premier client avec Philippe Meneret. Après il avait été ouvrir pour François Deligneris « l’Envers du Décor » et puis il s’est retrouvé à Paris aux Caves Legrand.

Donc, nous avons un nouveau lieu sympa à Saint-Emilion.

Partager cet article
Repost0
21 juillet 2006 5 21 /07 /juillet /2006 09:36

Vol direct Las Vegas- Londres Gatwick en classe semi-affaires, pas chère mais siège inconfortable, difficile de dormir. Stop à Londres juste le temps de manger et Londres-Bordeaux.

Nous sommes partis avec 47 degrés à l’ombre et 20 % d’humidité, à l’arrivée il ne fait que 40°, mais avec 50 % d’humidité, c’est plus difficile.

Un tour dans les vignes à toute vitesse : déjà les plantes souffrent de la sècheresse, quelques effeuillages trop sévères et les effets sont visibles de suite : belles grillures. Belle récolte à venir, il va falloir faire tomber des grappes et à aujourd’hui encore un bon millésime qui s’annonce. Le boulot à fond la caisse : il faut rattraper ces quelques jours passés à Las Vegas.

Bon, alors, Las Vegas ? je ne sais pas trop quoi en dire … Si ! des chiffres : plus de 35 millions de touristes, des hôtels de  8000 chambres. Nous étions au Bellagio, un des tout bon avec le win’s en mieux me semble-t-il, en tout cas les chambres sont aux normes américaines, propres et spacieuses ( et pas trop chères).

Dans chaque hôtel,bien sûr, des machines à sous, des tables de poker, roulette, etc…ainsi qu’une multitude de bars et surtout de restaurants avec à chaque fois : un  italien, un chinois, un américain et un français style atelier de Robuchon ou Guy Savoy, chez qui nous avons fait notre meilleur repas, niveau 3 étoiles.

Dans tous ces restaurants de qualité, un cave bien fournie avec hélas, peu de vins français, et souvent les plus chers : Pétrus, Ausone, Valandraud. C’est dire qu’il y a  du potentiel à mon avis, même pour les vins pas trop chers, s’ils correspondent au goût des américains (et ça tombe bien puisque je semble faire des produits adaptés).

Je crois que nous avons bien fait d’aller à Las Vegas, j’attends les commandes avec impatience.

Sinon, bien sûr, nous n’avons rien gagné aux machines à sous. Nos pertes sont néanmoins très limitées, les sommes laissées dans les restaurants sont bien plus considérables, avec chaque soir un repas de travail, une dégustation. Heureusement que nous avons été invités par Jean Guyon à un repas où ses vins  goûtés à l’aveugle surpassaient des vins biens connus, classés et plus chers, avec un  Haut Condissas qui m’a bien séduit.

Côté spectacle : Le Cirque du Soleil qui présente 4 ou 5 programmes différents. Notre importateur au eu la bonne idée de nous y inviter et nous avons eu le plaisir de voir celui qui est le plus « érotique » : Zumanity, vraiment très beau.

Bon, à peine rentré que déjà un aller retour à Paris, programmé le 25 juillet pour participer à l’émission de  Nicolas Stoufflet sur France Inter « ça vous dérange ? » , un titre qui me va bien.

Et une semaine à New York du 21 au 26 août avec Christian Dalbavie et Xavier Serin  pour des animations avec nos importateurs privilégiés et des journalistes et surtout le début d’un vrai travail pour les Vignobles Fayat, Haut Carles, Haut Mazeris, etc…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
10 juillet 2006 1 10 /07 /juillet /2006 10:37

Avant de partir à Las Vegas via Londres, quelques infos

Valandraud 2004 évolue très favorablement, le bloc où il y avait trop de tout est en train de s’affiner. Le temps et les soutirages feront qu’à la mise en bouteille, prévue pour les vendanges 2006 et après un élevage de 24 mois en barriques neuves à 100%, Valandraud 2004 saura récompenser ceux qui y ont cru depuis le début : Hervé Bizeul qui en a même acheté, Patrick Essa our Bernard Burtschy qui ont eu plus confiance  en ce vin que moi ou  Parker (je pronostique aujourd’hui qu’il sera dans les 3 meilleurs Bordeaux)

 

 

Dans quelques semaines, j’aurai le plaisir  de mettre en marché "Les 3 Marie 2004" dont la mise en bouteille est prévue ces jours ci. Là aussi élevage long pour la région, pour ce lot 100 % grenache (très) noir , tout en élégance, classe et faisant partie, je commence à le dire, de la catégorie des grands vins du monde.

Il me tarde que le vin soit goûté, jugé, accepté malgré le prix que nous demandons –parce  qu’il le vaut bien – pour nous permettre en tout cas d’avoir les crédits nécessaires à la construction du chai ambitieux voulu par Marie et Jean-Roger Calvet, avec l’aide de Marylène Vauthier, Murielle Andraud et moi (et que la passion du vin soit avec nous encore longtemps !)

Partager cet article
Repost0
3 juillet 2006 1 03 /07 /juillet /2006 11:09

Samedi à 11 heures, quelques amis passent nous dire bonjour et boire l’apéritif, pour les gâter un peu de truffes du Périgord sur des pains chauds, huile d’olive, sel, poivre et une très bonne bouteille de Salon 1988, accord parfait malgré la chaleur. Et pour encore plus gâter nos hôtes, dégustation de Haut Mazeris  2003 (pour faire plaisir au beau-père de Capucine) suivi de Valandraud 1998. Les 2  vins sortis de la cave fraîche se sont vite fait apprécier et nous avons été invités à manger vers 13 h avec une coupe de champagne dont j’ai oublié le nom, un Marjosse blanc 2005 délicieux, Petit Cheval 1998 (on ne dira pas assez que ce millésime est grand à Saint Emilion) et pour bien finir avant la sieste réparatrice : Cheval Blanc 1982, tout en délicatesse et particulièrement apprécié. Dans la vie de propriétaire à Saint Emilion, chaque jour qui passe trop vite nous fait apprécier un peu plus la chance d’y être venus par hasard et d’avoir eu la chance avec nous.

Chance, notes… Entre vendredi et aujourd’hui : 5 étoiles Decanter pour Calvet Thunevin  Hugo et Dentelles 2003, 90 points pour Constance 2004 et 93 points pour Hugo selon Robert Parker :

 

 

2004 Domaine Calvet Thunevin Vdp des Cotes Catalanes Cuvee Constance
Domaine Calvet Thunevin
Vins de Pays des Cotes Catalanes, Languedoc Roussillon, France
Proprietary Blend (a dry red table wine)

 

Wine Advocate #165 (Jun 2006)

 

Robert Parker

 

90 points

 

Drink 2006-2009

 

$14.00

 

A brilliant effort from St.-Emilion’s bad boy, Jean-Luc Thunevin, and the Calvet firm, this 2004 was produced from a 25-acre old vine vineyard planted with 60% Grenache, 30% Syrah, and 10% Carignan. After aging in concrete vats, it was bottled unfined and unfiltered. It boasts tremendous intensity as well as a big, sweet bouquet of creme de cassis, black cherry liqueur, licorice, and roasted meats bathed in Provencal herbs. With superb purity, full body, and no hard edges, this savory, mouthfilling red will drink well for 2-3 years.
 
P.S. Although its price of $48 does not qualify for this report, the 2003 Domaine Calvet Thunevin Cuvee Hugo (rated 93) is a sensational, intense, full-throttle effort made from the same blend. It is exhilaratingly rich and intense.
 

 

 

 

 

 

Bel article  également sur Valandraud dans le Journal des Finances et la parution des notes de Parker sur les Bordeaux 2004 avec encore Ausone et Pavie au sommet.

Tout ça devrait nous aider  pour notre prochain voyage aux USA, déjà le 3ème cette année, après New York et Washington, cette fois-ci c’est Las Vegas.

Partager cet article
Repost0
30 juin 2006 5 30 /06 /juin /2006 13:39

Sur le site d’Hervé Bizeul, j’ai lu les propos un peu amers d’un nouveau viticulteur qui, malgré la réussite de son vin en  2005, a du mal à le vendre à 5.50 euro  si j’ai bien compris.

5.50 euro, c’est 36 francs HT, c’est le prix de vente d’un Saint Emilion Grand Cru dont le prix à l’hectare se situe encore aujourd’hui à 500 000 euros.

5.50 euro, c’est le prix de Villa Mongiron + 30 %

5.50 euro, cela fait environ 11 euro TTC en magasin, au bout de la chaine.

Le prix n’est qu’une des composantes d’un produit , la qualité n’est que le strict nécessaire, le prix qui doit être justifié par un travail commercial, une notoriété, le temps passé à vendre au négoce est plus rapide que celui qui recherche la vente directe aux particuliers, mais dans ce cas, qui paye le temps consacré ? Par qui est fait la vente  si le propriétaire est dans ses vignes ?

La viticulture n’est pas facile, sinon ça se saurait. Les riches fortunes  qui veulent acheter un premier cru, un grand château, ne sont pas obligatoirement imbéciles : la marque établie offre vraiment une survaleur à un vignoble. C’est pas nouveau, à l’époque de Rome, des crus étaient déjà célèbres. Jacques Luxey, que je cite souvent car il a été mon « mentor », me disait il y a déjà plus de  20 ans : « Jean Luc, on en vend pas un produit, on vend une différence » et il utilisait souvent cette expression : "savoir faire – faire savoir". Il ne faut jamais être amer, c’est dur et alors ?  qui va te plaindre, toi qui fait le travail que tu as choisi, qui fait le vin que tu aimes. Certains en bavent toute une vie sans avoir jamais vécu ta première dégustation de ton premier vin.

 

 

 

Fin de la campagne primeurs 2005.

Nous en sommes aux rachats et reventes, donc juste sur les crus ayant aujourd’hui un prix de revente supérieur au prix de revente  1ère tranche « conseillé » par la propriété.

En fait, très peu de vins concernés, peut-être moins de 30 marques, je pense. Ce qui est peu si l’on pense que cette année plus de  500 marques ont été vendues en primeur.

Robert Parker dit que les prix sont fous, ridicules et nos clients disent la même chose, pourtant les vins les plus faciles à vendre cette année pour moi auront été les plus chers. Et c’est dommage que je n’ai plus à vendre d’Ausone, Cheval Blanc, Mouton Rothschild, Angelus, Troplong Mondot, Gracia, Croix de Labrie, Conseillante, Ducru Beaucaillou…

Suite à un effet induit, on pourrait appeler ça les bénéfices collatéraux, les 2004 et tous les stocks disponibles ont l’air pas chers et trouvent preneur. Rien qu’hier nous avons vendu quasiment tous nos stocks de crus connus chers.

Dire que 2006 s’annonce ce qualité et que déjà à Bordeaux nous sommes inquiets (et c’est rien de le dire …)

Partager cet article
Repost0
26 juin 2006 1 26 /06 /juin /2006 09:26

Sud Ouest titre : « Lafite Rothschild à 500 euro ! »

Bon, même chez nous on se rend compte qu’il se passe quelque chose de grave.

 

 

 

René Renou est mort, il n’avait pas apprécié notre histoire de vin de table : Interdit de « Valandraud », Preuve pour « Carles »,  Défi de « Fontenil », mais après coup et explications, je crois qu’il avait un peu évolué et avait sérieusement essayé de dépoussiérer notre « mammouth » à nous. Marc m’a fait remarquer que je n’en parlais pas, mais tous le monde sait que je suis hypocondriaque…

Sud Ouest encore, et ça tombe bien : samedi 24 juin, en dernière page, un article sur les vinopodes, que j’aurai plutôt appelé les vinopotes, avec ce titre « découvreur de vin » et  une photo où ces heureux  amateurs sont capables de mettre côte à côte Cos d’Estournel et l’Interdit de…

Je ne suis pas sûr  que Jean Guillaume apprécie cette proximité, moi si... et j’attends avec impatience de recevoir ce petit groupe dont je partage les convictions : le vin est fait pour être bu (et s’il se trouve que si  des centaines de vins sont trop chers, il y en a plein d’autres… Tout le monde ne roule pas en Ferrari, Porsche ou autre et n’en est pas moins heureux !)

Partager cet article
Repost0