Voici les commentaires que mon billet de lundi a inspiré :
m'étonnerait...
Commentaire n° 1 posté par Kathryne avant-hier à 18h20
N'est ce pas le prix à payer de la privatisation sans vergogne de tous nos services publics depuis maintenant plus de 5 ans.
On ne peut pas vouloir à la fois les économies liés aux suppressions de charges de fonctionnement d'une EDF totalement publique et la garantie 100 % d'un service public comme avant
Amicalement
Bruno
Commentaire n° 2 posté par Bruno avant-hier à 18h32
Arreter de pleurer, de chouiner sur les services, c'est repetitif. On n'a jamais eu une fiabilite comme celle d'aujourd'hui, une demi-journee de perdue... ouin ouin
Il faudrait savoir, on joue au chef d'entreprise ou on fait du vin? Parlons vin!
Commentaire n° 3 posté par G. Dejannin aujourd'hui à 05h50
Merci à Kathryne et à Bruno qui donnent un avis que je peux comprendre même si je pense qu’il n’y a aucune raison qu’une entreprise privée ne fasse pas aussi bien le travail qu’une entreprise publique.
Mais si G. Dejannin travaille à EDF, il est limite surtension !
Une demi-journée de perdue multipliée par 10 personnes, cadres pour la plupart, ça ne me fait pas plaisir. Et sur mon blog – qui n’est pas un forum comme peut l’être La Passion du Vin ou Dégustateurs.com – je peux quand même dire que je ne suis pas content ! Une panne ça peut arriver bien entendu, et c’est vrai que ça n’arrive pas souvent.
Ce que je déplore, c’est le service consommateur par boite vocale interposée et le temps d’attente à notre charge téléphoniquement parlant, et également que dans nos contrats la non fourniture de la prestation achetée ne prévoit pas de couvrir les frais occasionnés par une interruption de service . C’est sans doute trop que de demander à EDF ce que l’on demande à un maçon quand il est en retard pour finir un chantier ou à SNCF ou Air France quand ils ont du retard !
Pour faire un vin il faut beaucoup d’eau pour laver et de l’énergie électrique pour faire tourner les machines, le chauffage, et dans des bureaux ou un magasin de vente, pas d’électricité = pas de travail.
Et je n’aurai le droit que de me taire ?!
Repas à la maison avec Peter – suite
Hier soir, un bon petit repas pour 4 et des vins de grande qualité : Pontet Canet 2003 Pauillac, toujours aussi bon, suivi d’un Chambolles Musigny 1er cru Aux Beaux Bruns de Denis Mortet, lui aussi valeur sûre de ma cave, et une grande fine champagne de Cognac 1858 réserve particulière, cadeau d’un ami
Bad Boy : On ne doit pas rigoler à la maison….
Ah enfin, j’ai lu sur internet (sur une revue très confidentielle qui a eu son heure de gloire dans les années 90) un très mauvais commentaire sur Bad Boy 2005 vendu 15 euro en magasin en France.
Avec ces commentaires, pas besoin d'âtre allé à l’école pour comprendre que le Monsieur n’a pas aimé, qu’il n’aime pas ce qui est « séducteur, racoleur, vulgaire » (en effet, ça s’accorde, comme triste, renfermé s’accorde avec classe ?).
C’est sans doute vrai, trop concentré, trop boisé… Mais peut-être y’a-t-il en magasin des clients pour aimer ce genre de vin car en tout cas quelques acheteurs ont aimé ce vin et nos clients amateurs de « vulgaire-séducteur-racoleur » en rachètent !