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Jean Luc Thunevin

  • : Jean-Luc Thunevin
  • : Bienvenue sur le Blog de Jean-Luc Thunevin, propriétaire de Château Valandraud.
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17 janvier 2012 2 17 /01 /janvier /2012 15:54

Comment dirais-je ? Enfin !

Enfin Jean-Ro et ses amis, invités il y a plus de 2 ans, sont venus participer à ce déjeuner ce lundi 16  à midi à la maison. Avec 4 amis de notre âge à l’appétit bien présent et pour faire plaisir plus particulièrement à ces invités prestigieux, certains d’origine pied-noir d’Algérie, du Maroc (et un bon prétexte pour moi), Murielle a cuisiné un tajine d’agneau avec les épices apportées par Daniel, installé au Maroc.

Sur les toasts aux truffes noires du Périgord, le Pomerol Fayat-Thunevin 2006 et sur le tajine un Calvet-Thunevin Hugo 2008 (91 points Wine Advocate) qui, s’il avait été noté par Robert Parker lui-même aurait eu 95 points au moins.

 

hugo-2008.jpg

 

 

Vin d’une douceur incroyable, limite Maury, mais très digeste grâce à son Ph autour de 3.5 et le service du vin à 17 degrés, assez frais pour, quand même, ne pas faire ressortir l’alcool de ce vin à très grande proportion de grenache ( 60%) et ses 30 % de Syrah et 10 % de carignan aux raisins ramassés mûrs. Les épices du tajine étaient enveloppées par la suavité de ce vin, digne remplaçant des meilleurs vins de côteaux de Mascara des années 1950/1960. Tajine préparé pour faire 2 repas,  nos amis et moi avons néanmoins décidé de tout finir, ça n’a fait que 3  assiettes chacun !


Et pour quand même faire plaisir à nos amateurs de Bordeaux : Valandraud 2003 juste avant la galette des rois, il y a mieux comme accord.

A L’Essentiel, il sont eu envie de goûter à la Fine Bordeaux et ils ont bien fait, avec ce froid c’était une bonne idée, quand je vous dit que nos amis avaient la forme, entraînés qu’ils sont à faire des repas jusqu’à tard le soir, et aidés par de belles constitutions.

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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 16:42

Bu à table à la maison ou au restaurant ce weekend,  un côte de  Castillon au terroir reconnu : Clos Puy Arnaud 2000, délicieux, finesse, puissance, équilibre, longueur.


A Lard et Bouchon : Monbousquet blanc 2007, opulent, gras, style très différent de Fombrauge ou Valandraud plus tranchants et vifs. Les blancs réalisés à  Saint Emilion ont du succès, même s’ils sont déclassés en AOC Bordeaux puisqu’il n’existe pas (encore) de Saint Emilion  AOC blanc. Ensuite, Châteauneuf du Pape Ferraton Père et Fils 2006 Le Parvis, tout en finesse.


Le soir à la maison, Taluos 2008 Cabardès, de l’ami Eric Soulat, très bon vin de cette belle région située non loin de Carcassonne et qui utilise les cépages bordelais et sudistes. Un Clos des Fées 2005 à suivre, là on est dans un vin culte : ce vin est superbe et l’aptitude au vieillissement , obsession des amateurs de Bordeaux, est largement prouvée, le vin évolue tout doucement,  avec complexité. 

 

Après, pour motiver nos amis, un Dentelles 2008 Thunevin-Calvet, là aussi un bien bon vin, noté 92  par David Schildknecht  pour le Wine Advocate, mais absent de la Revue du Vin de France.

tcden08_det_1.jpg

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 19:53

Bon début d’année pour Valandraud Blanc N°1 2009 avec un très beau commentaire et une belle note sur le site internet du Wine Spectator. Pour info, si  le N°1 de Valandraud est un peu cher, le Blanc N°2 (ou Virginie blanc, depuis 2010) est également très bon et plus « abordable ». Tous les 2  obtiennent un bon succès dès lors qu’ils sont présentés à la restauration, on peut trouver ces vins dans beaucoup de restaurants amis, ici à Saint Emilion, à Bordeaux et aussi à Paris.


Déjà 2 déplacements au compteur, un à Nice (par Air France) avec Serguei, on aura très rapidement des retombées commerciales. En tout cas, l’arrivée à Nice en avion avec la neige sur les Alpes c’est joli à voir, quand en plus il y a du soleil. Nous avons eu le temps d’aller voir notre rendez vous à Monaco, de manger sur les hauteurs de Nice et puis retour Nice-Paris-Bordeaux. La route Nice-Monaco a été faite en taxi avec un chauffeur plus qu’aimable et d’origine pied-noir, la diaspora pied-noir est importante dans cette région 


Le lendemain, un déplacement en TGV pour aller à Paris dans une école privée de gastronomie très célèbre, surtout à l’étranger : Le Cordon Bleu. Elle a surtout une vocation de formation pour la cuisine mais depuis  peu a été créé un programme sur les métiers du vin. J’ai pu voir des professeurs heureux de travailler et des étudiants tout aussi heureux. Ils ont  plutôt intérêt quand on sait le prix de ces formations prestigieuses. J’ai été heureux de ce moment passé avec ces 20 personnes d’origine  si cosmopolite. J’ai goûté avec eux Bad Boy 2009, Virginie de Valandraud 2007 et Valandraud 2004.


Dimanche, bu avec beaucoup de plaisir un Pomerol Fayat-Thunevin 2006 qui fait bien plus jeune que son âge et c’est plus que bon signe. Et j’ai lu avec beaucoup d’intérêt les commentaires de Jean Marc Quarin,  surtout sa dégustation du millésime 2000 et ses pensées sur les goûts de bouchon trop présents ( 17% !)

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2 janvier 2012 1 02 /01 /janvier /2012 16:44

Repas amical à la maison, 3 vins goûtés avant pour se faire la bouche : Côte Rôtie, Nouvelle Zélande, Allemagne… J’ai oublié les noms 


Après, le toujours bon Blanc de Blanc de Ruinart, un bon Puligny Montrachet 2006 de Etienne Sauzet, Cheval Blanc 2004 encore fermé et pour le symbole, Valandraud 2009, tout le contraire : too much, complexe, excessif, exubérant, violette, cerises noires, chocolat et raisins mûrs.


Lundi 2, pour et avec des amis russes, avec une soupe et le pot au feu :

Blanc de Valandraud N°2  2009,  Château Valandraud 2009 : dépêchons nous d’en boire tant qu’il en reste… Hugo de Thunevin-Calvet 2008, énorme, assez puissant et élégant pour passer après Valandraud 2009, c’est dire (sur le fromage) et Maury 2007 du même Thunevin-Calvet pour accompagner le dessert au chocolat de chez Lopez.

Puis Fine Bordeaux, ouverte depuis longtemps....Heureusement à L’Essentiel, il y avait la possibilité de boire une bouteille ouverte récemment.

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22 décembre 2011 4 22 /12 /décembre /2011 15:21

Le Crédit  Agricole mène à tout… à condition d’en sortir !

Ancienne cadre du Crédit Agricole, Isabel Fernando a créé un vin culte et j’ai eu le plaisir d’en boire.

Domaine Saint Préfert 2007, collection Charles Giraud, Chateauneuf du Pape : vin puissant, équilibré, épices, cerises, chocolat, belle robe, vraiment bon.


Le charme de la propriétaire se retrouve dans le vin, son énergie aussi. J’ai prévu d’aller avec Jean Roger, Marie et Murielle, voir et goûter sur place, ayant eu la chance de  rencontrer Isabel au Wine Experience de New York. Il nous faut apprendre le grenache façon Chateauneuf du Pape et aussi comment faire de nos mourvèdre le meilleur du meilleur 

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16 décembre 2011 5 16 /12 /décembre /2011 16:33

Expertise aujourd'hui pour Murielle et Rémi, notre avocat Maître Magret, avec des experts, avocats, dégustateurs, pour vérifier si notre plainte concernant un lot de vin de Bordeaux et déterminer s’il est vraiment contaminé, un peu, beaucoup ou pas du tout, soit par un goût de bouchon, soit par un goût d’atmosphère de chai, soit les 2, soit..rien  !

Nos clients aujourd’hui sont tellement précis que ce qui aurait pu passer pour un goût normal de barriques un peu trop vieilles avant, est aujourd’hui refusé par nos clients. Dès qu’un client  nous signale un problème que mon entreprise, malgré notre avance technique, n’aurait pas décelé, nous lançons une vérification et ne refusons pas de prendre en compte une réclamation. Le formalisme de la Norme ISO nous permet d’accompagner notre recherche pour savoir, comprendre et si possible solutionner tous les problèmes.

Hélas, les demandes à l’amiable auprès de nos fournisseurs se heurtent à des « c’est pas nous, c’est l’autre… », et … c’est peut être vrai.

J’espère que la résolution de ce problème ne prendra pas 3  ans, en attendant, nous sommes toujours clients de ces 2  fournisseurs.

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8 décembre 2011 4 08 /12 /décembre /2011 10:11

Repas mi amical mi professionnel, comme c’est souvent le cas dans notre métier.

Difficile d’être seulement des machines, le monde du vin est fait de rencontres et nous pouvons être amis avec nos clients, nos juges, nos fournisseurs tout en gardant notre liberté. En tout cas, c’est comme ça que j’essaie de vivre mon boulot qui est aussi ma passion.


Dégustation avant le repas de 4  vins du Roussillon Thunevin-Calvet pour avoir un avis de professionnel des vins du Rhône.

 Constance 2008 bon, fraîcheur, net, pas étonnant qu’à ce prix là ce vin fonctionne bien chez nos clients. Après Les Dentelles 2007, vraiment bon, facile à boire, structuré, équilibré, rien de trop dans ce vin, là aussi un rapport qualité prix au top. Que font mes collaborateurs, mes clients pour passer à côté ?

Ensuite Hugo 2007, grand vin, puissant, limite vin d’Espagne, de Napa ou d’Australie, mais là encore prix avantageux pour le client de ce genre de vin typé méditerranéen moderne. Le 3 Marie 2007 est tout simplement un grand vin s’il n’y avait pas Roussillon sur l’étiquette, se vendrait 200 à 300  euros, mais voilà, il y a écrit Roussillon et à part la Petite Sibérie, il n’y a pas beaucoup de vins pouvant prétendre à ce genre de statut dans cette belle région.


A table nous étions 7 dont Xavier, Rémi, Murielle et moi. A l’apéritif Valandraud Blanc 2008, fort bon même si ce n’était pas l’aveugle

Ensuite, à l’aveugle avec l’omelette au truffes noires du printemps 2011 : à gauche, le préféré de tous, un vin tout en finesse, en longueur, goût de truffes rappelant les grands Pomerol et les terroirs crasse de fe. A droite, vin puissant, beaucoup plus jeune, austère, personne n’a trouvé. Le millésime a été trouvé par un de nos invités et c’était 2000.  L’Interdit de Valandraud était à gauche, Léoville Las Cases à droite.


2ème vin sur l’aloyau délicieux et la purée aux truffes façon Joël Robuchon :

A gauche, un vin sexy, millésime trouvé de suite par la moitié de la table : 1998 . l’appellation proposée : Pomerol, Vieux Certan ? Non, c’était Valandraud 1998, très belle bouteille, bouchon parfait, préféré par 5  sur 7. A droite, un vin plus ferme, très beau terroir. Les 2 vins relativement proches pour une partie des invités, moins sexy, c’était  Latour 1998, 1er cru à Pauillac.


Ensuite, pas à l’aveugle, avec le gâteau basque de chez Lopez (je croyais qu’il y avait le gâteau au chocolat !) : Maury 2007 Thunevin-Calvet, bon mais il n’était pas à sa place sur le gâteau basque, dominé par l’élégance, la race, l’harmonie de Yquem 2005 qui est l’accord parfait avec ce dessert.

Café et stop sieste... Dur de reprendre le boulot, c’est aussi ça ma vie de propriétaire-négociant en vin.

 

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7 décembre 2011 3 07 /12 /décembre /2011 09:29

Que boire avec du chocolat  ?

Thunevin Calvet Maury !  Souvent il est question d’accord entre la nourriture et la boisson, le vin en ce qui nous concerne. Les fausses idées, viande et vin rouge, fromage et vins rouges sont souvent en France très répandues.


Un poulet rôti peut être servi avec du sauternes et être un accord gustatif parfait, des fromages de chèvres avec des blancs liquoreux ou blancs secs sont souvent meilleurs qu’avec du vin rouge etc… L’un des accords le plus facile pour moi c’est notre vin de Maury avec le dessert au chocolat de chez Lopez (le pâtissier de Libourne).

 

CALVET-THUNEVIN-MAURY-2004-copie-1.JPG

 

Donc à la question souvent entendue, que boire avec le chocolat, c’est facile de répondre ; du Maury et surtout le nôtre de Maury en 2004 ou 2007, une merveille sur le gâteau au chocolat, d’ailleurs Nicolas de Rouyn est d’accord avec moi 

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 11:59

Déplacement à Paris pour participer su Grand Tasting organisé par Bettane & Desseauve au Carousel du Louvre. Cette année, encore beaucoup de monde sauf le vendredi matin. Il est vrai que notre emplacement était un peu éloigné, avec l’avantage d’avoir de la place, pas simple de savoir ce qu’est un bon emplacement dans un salon, celui-ci ou Vinexpo. Faut-il y avoir beaucoup de monde ou plutôt uniquement ceux qui nous cherchent ?

Notre équipe de Terre de Lisse avec Pressac, Faugères, Rol Valentin, Fleur Cardinale,  Valandraud a depuis rajouté Sansonnet et les propriétés à Pomerol ou Castillon  de Faugères et Rol Valentin. De mon côté, nous faisons goûter Fleur Cardinale 2008, Sansonnet 2008, Bad Boy 2009, Valandraud rouge et blanc 2009.

Nous avons manqué de bouteilles de Valandraud, il aurait fallu 14 ou 15  bouteilles, alors que sur les autres vins nos besoins étaient de 10 bouteilles ?


C’était aussi l’occasion de rencontrer des amis, collègues italiens, français ou étrangers et nos clients privés directs ou clients de nos clients restaurateurs ou cavistes. Sur notre stand  tenu cette année par David, Didier, Murielle et moi pour nos vins, Marie Bénédicte et Christophe pour Sansonnet et Matthieu pour Fleur Cardinale. Je n’ai pas eu le temps de voir les Master Class mais il y avait du monde et des belles têtes d’affiche. Bien mangé à la Brasserie Ruc juste en face du Carrousel du Louvre, beau cadre et service attentionné avec heureusement un bon Réserve Perrin 2009 à prix très doux pour le lieu.

Nous avions depuis longtemps envie de voir Pierre Arditi au théâtre, c’est fait. La pièce jouée au théâtre Montparnasse avec 3 autres comédiens est tout simplement l’un des bons moments de notre année. Le talent de Monsieur Arditi étant pour nous augmenté de la joie et du privilège de lui parler après le spectacle et de faire signer des photos de nous en train de lui faire goûter notre Valandraud lors d’un autre salon.

Dans la conversation, Pierre Arditi nous a parlé de la boutique située Boulevard Saint Germain où se trouve tout notre gamme ou presque. Merci Thomas 

 

gdtasting.jpg

Vendredi soir, rien, vannés, une mauvaise brasserie le soir, choisie parce que proche de notre hôtel Scribe qui, lui est parfait.

Le samedi soir, un repas chez des amis producteurs de cinéma qui fêtaient la crémaillère de leur nouvelle maison du côté de Beaubourg avec l’un de nos plus fidèle client privé (merci Cécile). Bu à table, un champagne de propriétaire dont je n’ai pas noté le nom, un Haut Bommes Sauternes de 1948 qui aurait régalé l’ami François Audouze, nous l’avons trouvé très bon même si pas trop liquoreux, il allait à merveille avec le foie gras. Un Hermitage blanc de Chave 2008 qui allait bien avec les coquilles Saint Jacques aux truffes d’automne, sur la viande un vin que je n’avais pas bu depuis longtemps, et la bouteille était très bonne : le célèbre Château Montrose 1990, le magnum aurait mieux  convenu pour ces amis qui sont de vrais « pratiquants ». Après, un Petit Village 1990  Pomerol, difficile pour lui après Montrose, très jeune avec encore de belles années devant lui et parce qu’il fallait lui faire goûter un de nos vins : Virginie de Valandraud 2007 pour se donner la force de prendre un taxi pour aller se coucher à plus d’une heure du matin.

TGV toujours agréable, pas mal de collègues de Bordeaux à l’aller et au retour.

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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 09:50

Les surprises des dégustations sont nombreuses :  les vins que l’on sait être bons ne sont pas notés, voire mal goûtés. Par exemple une meilleure note donnée en Angleterre à Virginie de Valandraud 2007 qu'à Valandraud 2007, et cela était déjà arrivé il y a quelques années dans une dégustation de Dupont Grisol chez  Rolland, où Virginie - à l’époque  vraiment très ‘’ 2 ème vin’’  - n’était pourtant pas ce qu’est ce vin aujourd’hui..


Dans le dernier numéro de la belle revue Fine Wine, Valandraud 2007 n’est pas noté mais clos du Beau-Père 2007  est noté parmi  15 autres crus déjà célèbres de Pomerol.

 

 


Etre déjà noté 15.5 pour cette propriété est plutôt une belle reconnaissance du travail entrepris par nous depuis 2006.

Le 2011 sera un de nos succès avec notre lalande de pomerol Domaine des Sabines.

 

Extrait de l’article :

Clos du Beau-Père ( 13% ABV )- 15.5

MB : Excellent, full, Merlot-like nose ; classical Pomerol texture, structure, and taste, picked at the right moment, with an excellent, firm finish.16.5

TD : Dark color; a smoky nose; dark fruit on palate, with intense, ripe, solid tannins, but good balance and classic, powerfull Pomerol personality.

MS: Light nose, with wood currently dominating the ripe fruit a bit; nicely balanced, lighter style of Pomerol, slightly dry-edged for the available fruit. Fresh, ripe  and straigforward, with moderate complexity and  length. Drink 2013-2028. 14.5

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