Je ne suis pas bon public, ou je suis trop exigeant ou je n’aime pas les audits, bla bla bla…
L’après-midi du 8 décembre 2010 à la salle des Dominicains, réunion organisée par Le Conseil des vins de Saint Emilion pour la présentation des résultats de l’audit de la marque Saint Emilion.
Je ne sais pas combien nous avons payé cet audit, qui l’a demandé, mais je n’ai pas pu rester plus d’une heure à écouter et lire les commentaires (en effet, aujourd’hui, à chaque réunion on projette sur un écran ce qui est lu à l’auditoire, c’est utile…)
Sand doute qu’il y aura un compte rendu disponible sur internet pour tous les adhérents, j’aimerai que cela reste dans les mémoires, surtout si c’est nous qui avons payé.
C’est la première fois que je vois un audit poser des questions à un panel si peu représentatif des clients : où était Madame Michu ? Mais où étaient Messieurs Li ou Smith ou Dupont ? (pas le journaliste qui lui était dans la panel des audités, étant déjà très engagé et nos collègues sans doute aussi. Sinon pourquoi cet audit ?)
C’est rare de trouver autant à dire sur un sujet aussi difficile que la marque (collective) Saint Emilion. Je suis parti quand j’ai compris qu’il fallait faire des vins sur le fruit, pas parkerisés, pas boisés (neuf) et pas trop cher. Je n’ai pas attendu le reste au cas où cela serait devenu pire…
En rentrant à la maison, la réunion ayant commencé avec une heure de retard, j’ai pu parler à des amis qui avaient assisté à toute la réunion, qui s’est terminée à 18 h, et ils m’ont affirmé que cet exposé était intéressant, surtout à la fin. Dommage que je n’ai pas eu la force de rester, dommage cette habitude de dire les choses importantes juste dans les 5 minutes avant de se quitter. L’homme pressé que je suis a du mal avec ces réunions où l’on blablatte … Et blablabla et blablabla comme la chanson de l’improbable chanteur Philippe Katerine.
Oups, en lisant le blog de I love Saint Emilion, je lis que c’est notre voisin et ami Jean François Quenin (Château Pressac) et président de l’ODG de Saint Emilion qui a demandé cet audit. Merci Marilyn Widocq Charles.