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Jean Luc Thunevin

  • : Jean-Luc Thunevin
  • : Bienvenue sur le Blog de Jean-Luc Thunevin, propriétaire de Château Valandraud.
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4 mars 2011 5 04 /03 /mars /2011 12:17

Rubrique informative...

Notre propriété achetée en 2004 à Margaux, cette célèbre et chère appellation, commence à être remise en état.

Actuellement 2 hectares  ½ et bientôt 3.5 de vignoble, plus 1 hectare en fermage et près d’un hectare en prés, bois et bâtiments, et ça commence à faire une jolie propriété à Margaux.


Depuis le rachat, les vins produits se sont améliorés, le 2009 et surtout le 2010 seront de très haut niveau. La propriété est dans les clous pour être reconnue cru bourgeois à partir de 2009, également membre de la Commanderie du Bontemps, Médoc et Graves, Sauternes et Barsac  où je suis également  commandeur.


Paris ne s’est pas fait en un jour, une propriété viticole non plus, et si Paris valait bien une messe pour Henri IV, notre vin pourrait régaler quelques offices religieux aujourd’hui…. Merci aux banquiers pour leur soutien.

tayac

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 20:12

Je serai en Allemagne  dans quelques jours pour présenter Valandraud dans le cadre de cet évènement qui a lieu du 24 février au 9 mars 2011 à Francfort.

 

La dégustation et présentation de Valandraud aura lieu le 4 mars pour goûter les millésimes 2001 à 2009 inclus.

Pour info, parmi les autres dégustations prévues :  Latour le 2 mars, Dom Perignon le 3 mars

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 14:38

Une semaine sans Cécile et c’était un blog en vacances 


Une semaine calme avant un déplacement en Ukraine à Kiev, et en Allemagne , à Francfort.

 

Dans les faits marquants,  j’ai encore lu un commentaire surprenant sur le classement de Saint Emilion qu’il faudrait figer ? Manquerait-il quelques années à un postulant  1er Grand Cru Classé A ?

Des visites pour partenariats, pour distribution de mes vins, pour être consultant dans un pays éloigné et quelques dégustations de Bordeaux  2010.

Un repas Chai Pascal avec un Jamet 2007 Côte Rotie tout simplement délicieux, bien meilleur que le 2000 bu récemment, avec un très bon cassoulet. Avec le temps maussade et froid, il faut des nourritures solides.

 

Jeudi 24, assemblée générale de ma société et des sociétés connextes  :  mon notaire, mon avocat d’affaires, les comptables avec leurs patrons, notre consultant, nos commissaires aux comptes… En tout cas 10  à table, la réunion s’étant fort bien déroulée de 11h à 13 h 30. Omelette aux truffes, daube aux joues de bœuf avec carottes et pommes de terre et le Macao, gâteau au chocolat  de chez Lopez à Libourne, bien connu à notre table. Blanc N° 2 2007, Baby Bad Boy 2009, Fayat-Thunevin Pomerol 2008, Valandraud 2005 qui commence à s’ouvrir, et après, à l’aveugle, Pétrus 2006. Murielle l’a reconnu grâce une odeur complexe de violette et parce qu’il y avait quelques temps qu’elle n’en avait pas bu . Nos comptables n’étaient pas loin, l’un ayant identifié Pomerol, l’autre ayant eu peur de dire « Petrus ». Bon, en tout cas fin et capable, à l’aveugle, de susciter du plaisir et donc encore plus quand la bouteille est révélé son identité. 

Le Maury de Thunevin-Calvet 2007 sur le gâteau au chocolat, et  café et notre Fine Bordeaux (il en reste !).

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24 février 2011 4 24 /02 /février /2011 18:15

Dans la RVF de ce mois-ci, enfin 2  propriétés et 2 propriétaires du Roussillon à l'honneur.

 

Hervé Bizeul, Le Clos des Fées, avec  4 pages qui lui sont consacrées et de beaux sujets de polémiques et des réponses d'Hervé sans langue de bois...

 

Philippe Gard, Coume del Mas, avec un reportage 4 pages aussi.

 

Egalement un beau reportage de 2 pages sur nos amis de Troplong Mondot et une dégustation verticale de 20 millésimes de ce 1er cru de Saint Emilion.

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22 février 2011 2 22 /02 /février /2011 19:33

Dans sa dernière chronique en date, il annonce un Cheval Blanc 2008  d’anthologie ainsi que l’Eglise Clinet qui, avec 19/20  seront ses 2 vins du millésime 2008 - si bon et si vite éclipsé par les 2009  et bientôt 2010 !


Un commentaire amoureux, normal après la Saint Valentin, pour le vin de notre ami Paul-Marie Morillon « A nos amours » du Château Lafont Fourcat . Sûr que Jean Marc Quarin  qui a beaucoup  d’influence en Suisse, saura aussi convaincre notre distributeur transalpin de ce vin

Les mots décrivant ce vin donnent envie de boire, et pourtant je ne manque de rien ces temps ci !

 

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21 février 2011 1 21 /02 /février /2011 08:43

Mercredi dernier, repas de midi à la maison avec l’un de nos bons banquiers, et Philippe, Eric, Gilles, Murielle et moi.

Blanc N°1 2008, Baby Bad Boy  2009 et après nous sommes  passé aux choses sérieuses : Taluos 2008 Cabardes, un vin hédoniste, que du fruit, de la douceur avec de la profondeur, un bien beau vin vendu moins de 20 euro au consommateur.  Et en  même temps, notre Calvet Thunevin 2005 Dentelles, plus vin du sud classique, plus de vivacité pour un vin qui a  vieilli admirablement bien.

Ensuite, Chateauneuf du Pape Tardieu Laurent 2007 Vieilles Vignes et Jamet Côte Rôtie 2000. 2 vins très différents, le Jamet étant plus sur la fraicheur, l’acidité.

 

Après  les pommes de terre tièdes aux truffes (bien bonne année), le lapin au morilles et le dessert, riz au lait à la vanille de Tahiti, Astralis de Clarendon Hills 2001  (Australie – shiraz) , noté 99  par Robert Parker, un vin culte offert par un ami négociant bordelais qui en a la distribution.

Grand vin certes, manque juste cette pointe de folie, de défauts des vins européens, mais nous ne goûtions pas à l’aveugle. Un grand vin en tout cas.

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18 février 2011 5 18 /02 /février /2011 17:17

Hier, de 10 à 12 h, réunion avec les boss de mon cabinet comptable, KPMG,  pour imaginer une stratégie d’organisation de mon entreprise en vue de ce foutu classement de Saint Emilion qui impose quelques règles rigoureuses concernant le parcellaire, l’exploitation, etc…

Repas à la maison avec Goulée 2008  et Commanderie de Mazeyres 2006, tous les deux forts bons, l’ambiance je vous dis, l’ambiance, ça transcende les vins. Goûté également, notre Fine Bordeaux. Repas simple et très bon.


A 14 h30, rassemblement au syndicat pour cette réunion INAO concernant les dernières questions avant la signature des règles du jeu de ce classement à venir à Saint Emilion. Une ambiance moins tendue que je ne l’aurais imaginée, des questions ayant presque toujours leurs réponses. Juste un peu surpris de ne pas voir intervenir les opposants habituels et l’absence de grands crus concernés et pourtant notoirement opposés. En tout cas, une réunion de qualité, même si je suis surpris par le consensus qui semblait en découler ?


Le soir, nos amis distributeurs brésiliens et une vedette du vin espagnol Raul Perez avec ses Ultreia 2008 -2009-2007 Bierzo avec ce cépage Mencia. A l’apéro et à table : Champagne, Bad Girl 2008 très bon, Fleur Cardinale 2004 et 2007 très agréable à boire en ce moment, Fayat Thunevin Pomerol 2007 tout en douceur, Clos Romanile 2008  à la texture fine et soyeuse d’un vin aristocratique, Virginie de Valandraud 2005  retrouvé dans ma cave (ma dernière bouteille…. Il faut que j’en rachète) quel beau millésime, et Valandraud 2002 qui commence à vraiment bien se goûter. C’était pour vérifier là encore une dégustation décevante faite à Miami chez un de mes clients.

Comme quoi  les vins ce n’est pas facile de déterminer quand et comment ils sont au mieux… Voir l’adage « il n’y a pas de grands vins, il n’y a que de grandes bouteilles ».  Encore, et pour finir, Fine Bordeaux issue de la barrique….

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17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 09:58

Y aura-t-il un nouveau classement à Saint Emilion ?

 

Réunion cet après -midi au syndicat de Saint Emilion avec le boss de l’INAO et nos dirigeants pour débattre des nouvelles règles établies en vue du prochain classement.

J’en ai déjà parlé ici, et avec beaucoup de monde concerné : mes collègues propriétaires, négociants, consultants et bien sûr avec des journalistes…


A aujourd’hui une petite partie de ceux qui pourraient postuler à ce classement sont opposés aux nouvelles règles prévues, surtout celles qui concernent la part prépondérante donnée à la dégustation (qualité des vins) et aussi au choix d’une commission « étrangère » plutôt que d’une commission du négoce et de professionnels bordelais. Une autre partie des opposants aimerait bien que l’état de fait actuel soit figé, invoquant jésuitisquement que comme ça, on éviterait de nouveaux conflits ! Monsieur le Curé de Saint Emilion risque d’avoir beaucoup de boulot pour entendre en confession tous ces pêcheurs  (par action, par pensée, par omission, par égoïsme) peu enclins à partager ce joli cadeau de la promotion interne au mérite, que l’on oppose si souvent ici au classement  du Médoc ,figé  depuis  1855 !

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16 février 2011 3 16 /02 /février /2011 11:59

Mardi 15 février, repas annuel organisé par un ami, Jean Claude Aubert du château La Couspaude, pour 18 personnes avec pour thème l’amitié, la truffe, le vin. A chaque fois, ça fonctionne bien, le mariage est réussi, tous les invités font une parenthèse dans leur vie de travail bien, parfois trop remplie. Début des travaux à midi avec Champagne brut Roederer et qui avec coquilles Saint Jacques aux truffes, purée aux truffes et bécasse et grives, brie aux truffes et dessert sans truffes, ouf !

Les truffes de Dordogne «était d’une maturité presque décadente, arômes très proches de la truffe blanche d’Alba.

Les vins ( et je dois en oublier) servis par 2  bouteilles ou 1 magnum. La Couspaude 1994, un délice, texture fine et suave d’un bon Chambertin, La Couspaude 1996  hyper jeune, suivi du 1999, opulent. Le 2001  La Couspaude, encore un bébé, suivi d’un Corbin Manuel 2006  tout en délicatesse, suivi de Valandraud 2005 encore dans sa gangue, tout en puissance. Heureusement, pour se refaire la bouche dans la douceur, un Clos des Papes 2005, Chateauneuf du Pape, équilibre parfait et pourtant 15°, comme quoi c’est toujours pareil : la classe, l’équilibre, le talent de la vinification permet d’oublier ces 15  degrés.

Sortie de table vers 17 h 30 et le soir, repas à la maison avec Jean Dutruilh (Château La Croix Figeac) et le propriétaire du Château Grand Destieu. Ont été servi : Grand Destieu 2008, Compassant 2004, Virginie de Valandraud 2006  et aussi Valandraud 2003 pour vérifier une dégustation où ce vin s’était mal goûté. Je crois que l’ambiance et les pressions atmosphériques comptent pour beaucoup dans l’appréciation d’un vin et sans être totalement dans l’ésotérisme, si l’un des participants n’aime pas tel vin, ce vin se goûtera mal. Jean a été très largement convaincu par ce Valandraud 2003  qui est et sera l’un des meilleurs 2003  de Bordeaux dans les  4/5 ans à venir.

Belle journée donc et quand c’est fini, ça recommence… à midi (je vous raconterais)


J’ai eu le temps de lire sur le site du Grand Jury Européen un commentaire de François Mauss sur l’affaire Lascombes 2005 qui, arrivé 1er dans une dégustation, soulève bien des polémiques.

 

Un caviste connu qui se prend un peu pour un journaliste disparu, bien que sympathique dans la vie – enfin, c’est ce que je croyais -, dit que les vins de garage et Valandraud valent moins qu’un soufflé. Au moins, c’est écrit. Je le savais peu amoureux de mes vins, je peux seulement le trouver un peu bête de défendre les 1ers crus 1855 alors que son ami Jacques Dupont qui lui est un journaliste reconnu et engagé et qui n’aime pas particulièrement les vins de garage, comme Patrick Dussert Gerber , a pu goûter à la maison à l’aveugle mes vins avec d’autres crus (1ers, classiques, garage) et il avait plutôt très bien noté les « vieux » millésimes de Valandraud.

C’est vrai  que c’était à l’aveugle, c’est vrai qu’il y avait d’autres grands professionnels, certains peu convaincus par les vins de garage, c’est vrai qu’ il y a eu un article relatant cette dégustation dans l’Amateur de Bordeaux, et c’est vrai aussi que n’ayant pas pu prouver que Valandraud  n’était pas bon au bout de  10 ans d’âge, nombre d’années supposé nécessaire pour voir  s’effondrer ces soufflés de vins de garage, la conclusion était : « nous verrons bien dans  20 ans ».  

Et bien, j’attends que ce grand caviste organise cette dégustation permettant de goûter à l’aveugle Valandraud et des 1ers crus sur 20 ans. Et comme ce sera lui qui organisera cette dégustation, que ce sera lui qui la financera, personne ne pourra trouver à contester le résultat, comme  cela est le cas pour cette dégustation du Grand Jury Européen financée par les propriétaires de Lascombes.

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15 février 2011 2 15 /02 /février /2011 16:59

ou comment associer plaisir et travail

 

Le 14  février, c’est la Saint Valentin,  je suis donc sûr de ne pas oublier  l’anniversaire de mon mariage avec Murielle : c’était ce jour que nous avions choisi en 1976.

 

Nous recevions hier un groupe de Chinois amateur de vin et amis d’un de nos bons clients dans ce grand pays, ce groupe  était reçu à Valandraud pour un repas et y passer la nuit. Notre amie Catherine Péré-Vergé des châteaux La Violette,  Le Gay, Montviel et de ses vignobles argentins, était là aussi.  

Et un des couples chinois présents s’était  aussi marié un 14  février.


Bad Girl 2008, Baby Bad Boy 2009, Bad Boy 2007, Virginie de Valandraud 2004  en magnum, fort bon et Valandraud 1999 en magnum également, très jeune.  Vive les magnums !

Et pour finir, notre Fine de Bordeaux.

(Heureusement que mon repas de midi s’était limité à une pomme et une orange !)

 

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