Vendredi 12 février au château La Couspaude, un ami fêtait les 35 ans de son entreprise de nettoyage avec ses clients et amis. Parti de rien, il peut être fier du chemin parcouru et son émotion, lors de son petit discours nous a montré toute la joie qu’il avait de voir réunis tout ce monde présent pour l’honorer.
Très bon repas préparé par l’ami Christophe : la poule au pot Henri IV était de compétition, le magicien (Grain de Folie à Artigues) nous a ébloui par ses tours de magie réalisés à nos tables et les bons vins de la famille Aubert, Jean de Gué 2004 Lalande de Pomerol et surtout La Couspaude 2004, très grand cru classé de Saint Emilion trop peu reconnu.
L’occasion pour moi de revoir de vieux copains. Notre table faisait très vintage 70 avec nos souvenirs du Tackouk au Pizou, la boîte de nuit où nous nous retrouvions tous à l’époque bénie de nos 20 ans !
La semaine dernière, j’ai reçu un groupe d’étudiants français (droit du vin), des Brésiliens, des Japonais, une Chinoise et des professionnels du vin, un architecte, un distributeur et même un spécialiste marketing. Cela me donne l’occasion de parler moi aussi avec un peu de retard du bon papier de Jacques Berthomeau en date du 12 février : Halte au feu des dégustations à répétition. A lire pour méditer (un peu).