Analyses au 08/09/2006
Semillon blanc Sauvignon blanc
Alcool en puissance 13.94 14.67
Ph 3.28 3.09
Acidité Totale 3.62 6.07
Et donc, début du premier passage de la vendange du Blanc de Valandraud ce lundi matin de 9 h à 11 h (20 personnes)
Classement toujours (réponses en vrac)
1/Pour S. Hébert
L’avantage d’être classé en 1er B est multiple
Premièrement, la valeur patrimoniale est multipliée par 2 par rapport à un grand cru classé qui lui même multiplie par 2 celui d’un grand cru (il s’agit là d’une estimation moyenne qui n’engage que moi, si j’avais les moyens d’acquérir de tels crus)
*En cas de faiblesse passagère, on le voit encore cette fois-ci, une plus grande tolérance de la part de la commission qui sait les enjeux formidables qu’un déclassement peut occasionner, et qui, par là même est influencée par la « position sociale » du 1er grand cru classé B.
*Dans les cas de qualité au top, les notes journalistiques seront un peu plus positives (on le voit souvent avec mon vin, qui bien que souvent décrit par les journalistes comme meilleur qu’un 1er grand cru, aura au final une note moins bonne !)
* Les consommateurs lambda pourront plus facilement être intéressés à acheter ce vin puisqu’ils commencent tous comme ça, et en accepter le prix. Il faut déjà être un peu curieux et informé pour accepter de payer un La Mondotte ou autre Croix de Labrie plus cher q’un premier cru classé B, voire A.
* Cette question posée par S.Hébert devrait être posée d’ailleurs au propriétaire de Troplong Mondot (ou des autres 1ers crus)
2/ Pour Didul (drôle de nom ?!)
N’étant pas trop cultivé et mon niveau scolaire s’étant arrêté au BEPC, j’ai vérifié si le mot fatuité et le reste du texte était :
Ironique ?
Humoristique ?
Sarcastique ?
Ou plutôt méchant ?… de cette méchanceté gratuite que permet internet à quelques rares aigris pour se défouler, surtout si comme sur mon blog, je n’interviens que pour corriger mes pauvres fautes d’orthographe ou de Français (et encore, je n’abuse pas :1 ou 2 fois depuis 2 ans)
Fatuité, donc : contentement excessif de soi qui se manifeste par une suffisance ridicule, une vanité insolente.
Bon, pourquoi pas .(bien que seul le mot « insolente » me plaise dans cette définition) Si c’est ainsi que Didul, homme charitable, plein d’amour pour son prochain, pétri de compassion comme on peut le voir, me juge moi, mes vins, Parker et les entrepreneurs de bas étage, c’est après tout son droit.
Seulement, peut être faudrait-il penser qu’un blog est souvent un peu un espace de fatuité par nature, non ? Blog – égocentrisme, fatuité : pléonasme… Pourquoi pas ? Mais alors pourquoi lire ce genre "d’ânerie", alors que les librairies regorgent d’auteurs formidables ?