Dans le supplément de La Tribune du 10 novembre dernier, une très belle promo un brin provoc (mais j’aime ça !) pour le Présidial 2004, avec comme titre « le chic pas (trop) cher », ça me rappelle la devise de Michel Puzio ( de Croix de Labrie), que je dois bien avouer ne pas totalement comprendre : « le chic, le chèque, le choc ».
Dans ce supplément, d’ailleurs, pas mal de mes copains ou amis sont distingués, avec parmi d’autres Jean Guyon et surtout Stéphane Droulers pour son rôle à Haut-Carles. Tout le monde sait que cette propriété et en général l’appellation est l’un des derniers lieux où trouver de véritables pépites vinicoles et j’ai à cœur de les promouvoir.
Lecture toujours, Alain Vauthier m’a passé Marianne où j’ai lu avec effroi un article de mon « ami » Périco Legasse, au titre évidemment fort « la guerre des vins ». C’est dommage, comme toujours, une partie du texte pose de bonnes questions, mais le style du reste est aigri. On y trouve entre autres de superbes photos de vins étrangers avec des commentaires qui sont presque tous assassins. C’est sûr, certains préfèrent voir la bouteille à moitié vide qu’à moitié pleine, mais enfin comment faire croire que le talent n’existe que dans la vieille Europe ? (le talent, ici, consiste à transcender le terroir, etc..)
Pour ma part, le 11 à midi, nous avons bu avec mes beaux-parents (qui ont plus de 70 ans) un vin argentin « Estampa » 2002, style blend à base de Malbec, mais pas seulement. Eh bien, c’était bon, même pour mon beau-père qui se met à aimer de plus en plus les vins dits modernes, et c’est pas compliqué, ses vins préférés (hormis les nôtres – c’est tout de même le père de Murielle !), c’est plutôt le genre Pingus…